Le modèle d’agence, adopté par plusieurs constructeurs (Stellantis, Mercedes, Volvo…), consiste à confier la vente au constructeur tout en gardant la concession comme point de contact physique.
Conséquences :
Ce modèle permet aux distributeurs de limiter leur risque financier et d’uniformiser l’expérience client, mais oblige aussi à trouver de nouvelles sources de différenciation (services, qualité de conseil, rapidité, SAV…).
Le client d’aujourd’hui configure, compare, prend rendez-vous, pose des questions et cherche à réserver… en ligne. Il attend :
L’essai devient le premier contact réel. Il faut donc le rendre simple à réserver, personnalisable, et rapide.
Les concessions deviennent des showrooms connectés. Le site web, les fiches Google, les campagnes Meta Ads et les outils CRM doivent tous communiquer.
Le client peut commencer son parcours depuis une pub Instagram, prendre RDV sur une landing page, venir essayer un véhicule, finaliser chez lui.
Les distributeurs doivent donc intégrer des outils performants :
Avec la digitalisation, le client n’achète plus uniquement dans sa ville. Il est prêt à se déplacer si :
Cela pousse les groupes à :
Ce n’est plus la concession qui vend, c’est le groupe, coordonné.
Si le client peut tout faire en ligne, que reste-t-il au vendeur ?
→ L’humain devient essentiel pour créer de la confiance. Le vendeur devient un :
Les commerciaux ne doivent plus seulement "faire du chiffre", mais aussi :
Les outils doivent devenir des alliés, pas des contraintes.
Les groupes performants mettent en place :
Le futur de la distribution est un système organisé, piloté, mesurable.
La distribution automobile entre dans une nouvelle ère : digitale, agile, orientée expérience.
Les concessions qui réussiront seront celles qui sauront allier la force du local, l’efficacité du digital et la cohérence de groupe. Le reste suivra.
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