Un client peut découvrir une offre sur Instagram, cliquer sur un lien pour consulter une fiche véhicule, remplir un formulaire, puis passer un appel à la concession, sans jamais finaliser... avant de se présenter deux semaines plus tard en concession sans prévenir.
➡ Le problème ? Trop souvent, personne ne relie ces étapes entre elles.
Résultat :
L’omnicanalité repose sur quatre piliers opérationnels :
Toutes les actions du client (clics, appels, essais, devis) doivent être historisées dans un seul espace. Pas de suivi sans data.
La prise de RDV en ligne (comme My Try), les relances automatisées, les publicités ciblées doivent parler au même système.
Les vendeurs, le marketing, le digital et l’atelier doivent partager la même vision du parcours client. L’omnicanalité est aussi humaine.
Analyser séparément les performances web, téléphoniques et physiques est inutile. Il faut mesurer le parcours global.
Les groupes et concessions qui adoptent une stratégie omnicanale structurée constatent rapidement :
Un outil comme My Try Pro permet de connecter les essais pris sur le site web, en publicité, par QR code ou en physique à une même interface. Le commercial voit l’historique complet, peut relancer automatiquement, et suivre son taux de transformation.
C’est exactement ça, l’omnicanalité appliquée à la vente automobile.
L’omnicanalité n’est pas une question de tendance digitale. C’est une exigence client devenue norme, qui distingue aujourd’hui les marques et groupes les plus agiles.
Unifier l’expérience client, c’est donner aux équipes les bons outils pour personnaliser chaque interaction. Et c’est surtout créer une relation de confiance continue, du premier clic à la fidélisation.
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